Rosa Bonheur vécut tout au long de sa vie en symbiose avec la nature, à proximité immédiate du monde animal. La ville lui faisait horreur, elle ne sentait bien qu’au milieu des grands espaces. Cet amour inconditionnel pour la nature et le monde rural se manifeste très tôt dans ses dessins et ses peintures ; il ira en s’amplifiant tout au long de sa vie. Ses scènes de labour et ses peintures de vaches, de moutons et de chevaux lui valent de gagner l’estime et la fidélité d’une clientèle fortunée, en France et en Angleterre.
Comme Courbet, son contemporain, Rosa Bonheur ne peint ni les aristocrates, ni les bourgeois. Son inspiration se trouve dans les champs, au grand air, au contact des travailleurs de la terre. Elle s’est toujours tenue à l’écart des différents courants artistiques qui ont traversé son siècle. D’un côté, elle est recherchée par une clientèle aisée qui affectionne particulièrement ses portraits animaliers. De l’autre elle est reléguée au second rang par les artistes romantiques ou impressionnistes qui luttaient contre cette vision marchande du métier d’artiste.
Rosa Bonheur a choisi de mener une vie à contre-courant de bien des conventions.
N° d’inventaire : P. 604
Rosa Bonheur vécut tout au long de sa vie en symbiose avec la nature, à proximité immédiate du monde animal. La ville lui faisait horreur, elle ne sentait bien qu’au milieu des grands espaces. Cet amour inconditionnel pour la nature et le monde rural se manifeste très tôt dans ses dessins et ses peintures ; il ira en s’amplifiant tout au long de sa vie. Ses scènes de labour et ses peintures de vaches, de moutons et de chevaux lui valent de gagner l’estime et la fidélité d’une clientèle fortunée, en France et en Angleterre.
Comme Courbet, son contemporain, Rosa Bonheur ne peint ni les aristocrates, ni les bourgeois. Son inspiration se trouve dans les champs, au grand air, au contact des travailleurs de la terre. Elle s’est toujours tenue à l’écart des différents courants artistiques qui ont traversé son siècle. D’un côté, elle est recherchée par une clientèle aisée qui affectionne particulièrement ses portraits animaliers. De l’autre elle est reléguée au second rang par les artistes romantiques ou impressionnistes qui luttaient contre cette vision marchande du métier d’artiste.
Rosa Bonheur a choisi de mener une vie à contre-courant de bien des conventions.
N° d’inventaire : P. 604