En ce temps-là, en Egypte, on momifiait les gens après leur mort: on enlevait du corps le foie, l’intestin et l’estomac que l’on plaçait dans des récipients appelés vases canopes.
On laissait juste le cœur pour que le défunt puisse vivre éternellement dans l’au-delà. Les organes étaient remplacés par du natron, un genre de sel, qui permettait de conserver le corps. Après, on l’enroulait de bandelettes et on le plaçait dans un sarcophage, une sorte de boîte à sa mesure, joliment décoré de hiéroglyphes, tu sais, les signes de l’écriture égyptienne.
Dans celle-ci, il y avait une momie du chat. A l’époque, ils pensaient que les animaux étaient des dieux. Le chat était un animal sacré. Pour les égyptiens, il représente en fait Bastet, la déesse de la joie et de la fécondité, protectrice du foyer et des enfants.
Les Egyptiens plaçaient les momies d’animaux à leur côté, comme ça ils se sentaient protégés pour l’éternité.
En ce temps-là, en Egypte, on momifiait les gens après leur mort: on enlevait du corps le foie, l’intestin et l’estomac que l’on plaçait dans des récipients appelés vases canopes.
On laissait juste le cœur pour que le défunt puisse vivre éternellement dans l’au-delà. Les organes étaient remplacés par du natron, un genre de sel, qui permettait de conserver le corps. Après, on l’enroulait de bandelettes et on le plaçait dans un sarcophage, une sorte de boîte à sa mesure, joliment décoré de hiéroglyphes, tu sais, les signes de l’écriture égyptienne.
Dans celle-ci, il y avait une momie du chat. A l’époque, ils pensaient que les animaux étaient des dieux. Le chat était un animal sacré. Pour les égyptiens, il représente en fait Bastet, la déesse de la joie et de la fécondité, protectrice du foyer et des enfants.
Les Egyptiens plaçaient les momies d’animaux à leur côté, comme ça ils se sentaient protégés pour l’éternité.