Sainte Catherine d’Alexandrie aurait vécu au IIIe siècle de notre ère, en Égypte. Fille de roi, elle reçoit une éducation soignée et développe une intelligence qui fait l’admiration de tous. Mais un jour, alors qu’elle voit des chrétiens se faire massacrer, elle apostrophe l’empereur Maxence et tente de lui prouver qu’il n’y a qu’un seul dieu, le dieu des chrétiens. Si l’empereur se laisse charmer par la beauté de la jeune femme, il ne se laisse pas convaincre. Il fit alors venir à Alexandrie une assemblée de scientifiques, censés raisonner Catherine. Mais au lieu de cela, elle arrive à les convertir. Emprisonnée, elle parvient même à convertir la propre femme de Maxence ! Celui-ci, fou de rage, décide de lui faire subir le supplice de la roue, duquel elle réchappe par miracle, puis de la décapiter.
Ce récit, tiré de la « Légende dorée » de Jacques de Voragine, a inspiré de très nombreuses œuvres d’art tout au long du Moyen Âge. Sur ces œuvres, Catherine est reconnaissable à ses attributs : la roue de son supplice (ici dans sa main gauche) et l’épée qui l’a décapitée (dont on voit encore une partie dans sa main droite).
N° d’inventaire : A.2827
Détail 1 : Aux pieds de la sainte, gît la tête de celui qui l’a condamnée et dont elle se venge en le foulant aux pieds ; l’empereur Maxence. Il symbolise le paganisme et le mal, face auxquels le chrétien parvient à triompher.
Détail 2 : La couronne de la sainte porte encore des traces de dorure, tout comme la roue, le pommeau de l'épée et la couronne de Maxence.
Sainte Catherine d’Alexandrie aurait vécu au IIIe siècle de notre ère, en Égypte. Fille de roi, elle reçoit une éducation soignée et développe une intelligence qui fait l’admiration de tous. Mais un jour, alors qu’elle voit des chrétiens se faire massacrer, elle apostrophe l’empereur Maxence et tente de lui prouver qu’il n’y a qu’un seul dieu, le dieu des chrétiens. Si l’empereur se laisse charmer par la beauté de la jeune femme, il ne se laisse pas convaincre. Il fit alors venir à Alexandrie une assemblée de scientifiques, censés raisonner Catherine. Mais au lieu de cela, elle arrive à les convertir. Emprisonnée, elle parvient même à convertir la propre femme de Maxence ! Celui-ci, fou de rage, décide de lui faire subir le supplice de la roue, duquel elle réchappe par miracle, puis de la décapiter.
Ce récit, tiré de la « Légende dorée » de Jacques de Voragine, a inspiré de très nombreuses œuvres d’art tout au long du Moyen Âge. Sur ces œuvres, Catherine est reconnaissable à ses attributs : la roue de son supplice (ici dans sa main gauche) et l’épée qui l’a décapitée (dont on voit encore une partie dans sa main droite).
N° d’inventaire : A.2827
Détail 1 : Aux pieds de la sainte, gît la tête de celui qui l’a condamnée et dont elle se venge en le foulant aux pieds ; l’empereur Maxence. Il symbolise le paganisme et le mal, face auxquels le chrétien parvient à triompher.
Détail 2 : La couronne de la sainte porte encore des traces de dorure, tout comme la roue, le pommeau de l'épée et la couronne de Maxence.