On pense souvent que « El Greco » est un nom espagnol. Mais ce n’est qu’un surnom. «El Greco » signifie « le grec » en français! Il était courant à l’époque de désigner les personnes selon leur origine géographique.
El Greco est un peintre reconnaissable entre tous. Ses œuvres mettent en scène des personnages aux traits allongés, filiformes, qu’il éclaire d’un coup de projecteur, comme on le ferait pour des acteurs de théâtre.
Il met ici son style au service d’une scène essentielle du Nouveau Testament : Jésus au jardin des oliviers.
Alors qu’il est considéré à Jérusalem comme un agitateur, Jésus sait qu’il sera bientôt arrêté, et sans doute condamné. Il se rend alors au mont des oliviers, sur une colline de Jérusalem, afin de prier avec ses plus fidèles disciples : Pierre, Jean et Jacques. Mais ses trois compagnons s’endorment ! Même si le Gréco les représente au premier plan, ils sont dans l’ombre, laissant Jésus-Christ seul.
Il est rempli de désespoir, face à un futur qu’il sait tragique. Mais dans ce moment d’angoisse, un ange vient à sa rencontre. Il lui offre un calice. Cette coupe symbolise chez les chrétiens le sacrifice du Christ. En acceptant la coupe, il accepte son destin. Il est plus serein pour affronter le danger qui approche : regardez à l’arrière-plan, les soldats arrivent pour l’arrêter !
Après son procès, il sera condamné à être crucifié, mais ceci est une autre histoire…
N° d’inventaire : P.10
On pense souvent que « El Greco » est un nom espagnol. Mais ce n’est qu’un surnom. «El Greco » signifie « le grec » en français! Il était courant à l’époque de désigner les personnes selon leur origine géographique.
El Greco est un peintre reconnaissable entre tous. Ses œuvres mettent en scène des personnages aux traits allongés, filiformes, qu’il éclaire d’un coup de projecteur, comme on le ferait pour des acteurs de théâtre.
Il met ici son style au service d’une scène essentielle du Nouveau Testament : Jésus au jardin des oliviers.
Alors qu’il est considéré à Jérusalem comme un agitateur, Jésus sait qu’il sera bientôt arrêté, et sans doute condamné. Il se rend alors au mont des oliviers, sur une colline de Jérusalem, afin de prier avec ses plus fidèles disciples : Pierre, Jean et Jacques. Mais ses trois compagnons s’endorment ! Même si le Gréco les représente au premier plan, ils sont dans l’ombre, laissant Jésus-Christ seul.
Il est rempli de désespoir, face à un futur qu’il sait tragique. Mais dans ce moment d’angoisse, un ange vient à sa rencontre. Il lui offre un calice. Cette coupe symbolise chez les chrétiens le sacrifice du Christ. En acceptant la coupe, il accepte son destin. Il est plus serein pour affronter le danger qui approche : regardez à l’arrière-plan, les soldats arrivent pour l’arrêter !
Après son procès, il sera condamné à être crucifié, mais ceci est une autre histoire…
N° d’inventaire : P.10
