Contrairement à une idée reçue, l’artiste ne cherche pas à reproduire à l’identique l’œuvre originale. La copie n’est pas réalisée dans le but de tromper, elle se présente comme telle.
Il y a toujours eu des copistes dans les salles du Palais des Beaux-Arts. Le musée est un lieu de découverte, d’étude, mais aussi d’apprentissage et de création.
Après avoir réalisé la copie de La Descente de croix de Rubens, Catherine Courdil-Bouthinon travaille actuellement sur Sainte Marie Madeleine en extase, toujours de Rubens . Elle est présente en salles le samedi. N’hésitez pas à aller à sa rencontre et à échanger avec elle sur son métier !
Pour en savoir plus sur son travail, visitez son site : http://troisieme-art.com.