Il faut que tu saches qu’à l’époque, les couleurs en tubes n’existaient pas, il fallait que l’artiste les crée lui-même ! Par exemple, pour créer le bleu, le peintre broie du lapis-lazuli, une pierre précieuse, et la mélange ensuite à de l’huile.
Il fallait beaucoup de créativité pour inventer toutes ces couleurs : les peintres broyaient et mélangeaient des pigments qu’ils trouvaient dans la nature (dans la terre, les plantes, les coquillages, et même les os !..) avec un élément liant (de l’eau, de l’œuf, ou de l’huile). Ici l’artiste a choisi l’huile, qui donne au tableau cet aspect brillant.
Les églantines sont ces petites fleurs blanches que tu vois dans le vase posé simplement sur le rebord de la table, au premier plan du tableau. L’artiste ne les a pas choisies par hasard. Leur couleur rappelle la pureté de la Vierge et leurs cinq pétales font référence aux cinq blessures que subira Jésus une fois adulte, lorsqu’il sera arrêté puis crucifié.
Mais pour l’instant, il profite de sa vie de bébé !
Il faut que tu saches qu’à l’époque, les couleurs en tubes n’existaient pas, il fallait que l’artiste les crée lui-même ! Par exemple, pour créer le bleu, le peintre broie du lapis-lazuli, une pierre précieuse, et la mélange ensuite à de l’huile.
Il fallait beaucoup de créativité pour inventer toutes ces couleurs : les peintres broyaient et mélangeaient des pigments qu’ils trouvaient dans la nature (dans la terre, les plantes, les coquillages, et même les os !..) avec un élément liant (de l’eau, de l’œuf, ou de l’huile). Ici l’artiste a choisi l’huile, qui donne au tableau cet aspect brillant.
Les églantines sont ces petites fleurs blanches que tu vois dans le vase posé simplement sur le rebord de la table, au premier plan du tableau. L’artiste ne les a pas choisies par hasard. Leur couleur rappelle la pureté de la Vierge et leurs cinq pétales font référence aux cinq blessures que subira Jésus une fois adulte, lorsqu’il sera arrêté puis crucifié.
Mais pour l’instant, il profite de sa vie de bébé !
