Il y a d’abord Jésus, au centre. Il a été condamné à mort par l’empereur romain Ponce Pilate qui le considérait comme dangereux et craignait une révolte de son peuple. Il est retenu par un linge blanc éclatant qui attire le regard. Sa tête est renversée en arrière comme pour se tendre vers le visage de Marie, sa mère, toute de bleu vêtue. On sent une grande tristesse dans son regard.
À droite, sur l’échelle, avec son turban, c’est Joseph d’Arimathie. Lui est riche, ça se voit à sa tenue. Il a d’ailleurs offert un tombeau pour qu’on puisse y mettre Jésus.
Au milieu, avec une grande toge rouge, c’est Jean. Regarde comme le peintre a dessiné ses muscles sous ses vêtements. Bien qu’il soit fort, il a bien du mal à soutenir le corps de Jésus. La vieille dame à gauche a l’air d’arriver là un peu par hasard. Par le geste de ses mains, on peut sentir que, comme nous, elle a peur que le corps tombe. Au pied de la croix, Marie Madeleine étreint la main du Christ avec tendresse. On la reconnait à sa très longue chevelure.
Bien sûr, Rubens n’a pas pu assister à cette scène. On imagine qu’il l’a reconstituée dans son atelier, avec des hommes et des femmes qui lui servaient de modèles. Pas simple de tenir la pose dans ces conditions !
Il y a d’abord Jésus, au centre. Il a été condamné à mort par l’empereur romain Ponce Pilate qui le considérait comme dangereux et craignait une révolte de son peuple. Il est retenu par un linge blanc éclatant qui attire le regard. Sa tête est renversée en arrière comme pour se tendre vers le visage de Marie, sa mère, toute de bleu vêtue. On sent une grande tristesse dans son regard.
À droite, sur l’échelle, avec son turban, c’est Joseph d’Arimathie. Lui est riche, ça se voit à sa tenue. Il a d’ailleurs offert un tombeau pour qu’on puisse y mettre Jésus.
Au milieu, avec une grande toge rouge, c’est Jean. Regarde comme le peintre a dessiné ses muscles sous ses vêtements. Bien qu’il soit fort, il a bien du mal à soutenir le corps de Jésus. La vieille dame à gauche a l’air d’arriver là un peu par hasard. Par le geste de ses mains, on peut sentir que, comme nous, elle a peur que le corps tombe. Au pied de la croix, Marie Madeleine étreint la main du Christ avec tendresse. On la reconnait à sa très longue chevelure.
Bien sûr, Rubens n’a pas pu assister à cette scène. On imagine qu’il l’a reconstituée dans son atelier, avec des hommes et des femmes qui lui servaient de modèles. Pas simple de tenir la pose dans ces conditions !