Le mythe de Psyché est l’une des histoires les plus romantiques de la mythologie grecque. Cette jeune mortelle, dont la grâce surpassait celle de toutes les autres femmes, s’attira la jalousie d’Aphrodite, la déesse de la beauté. Celle-ci envoya son fils, Éros dieu de l’amour, afin qu’il lui décoche une de ses flèches et que la jeune fille tombe amoureuse de la créature la plus laide. Mais Éros tomba sous le charme de Psyché, et après maintes péripéties, ils devinrent mari et femme.
Greuze imagine la scène du couronnement d’Éros par Psyché. C’est l’occasion pour lui de figurer une scène galante, voire érotique. Il dévoile le corps de Psyché et celui de la Pudeur à droite.
Afin de répondre au goût des spectateurs de l’époque, le décor se compose de mobilier à l’antique, alors à la mode. D’autres peintres classiques, comme David et son Apelle peignant Campaspe, feront de même.
Sur un dessin préparatoire aussi conservé au Palais des Beaux-Arts, on remarque que ce décor, tout comme les positions des personnages sont différents. Greuze, quand il passa à la réalisation de la peinture choisit un format allongé plutôt que vertical, afin de placer ses personnages comme sur une frise antique.
N° d’inventaire : P. 389 et W. 2431
Détail :
L’œuvre est restée inachevée. Certains accessoires, ainsi que le fond n’ont pas été terminés par l’artiste, peut-être parce qu’entre temps la commande fut abandonnée.
Le mythe de Psyché est l’une des histoires les plus romantiques de la mythologie grecque. Cette jeune mortelle, dont la grâce surpassait celle de toutes les autres femmes, s’attira la jalousie d’Aphrodite, la déesse de la beauté. Celle-ci envoya son fils, Éros dieu de l’amour, afin qu’il lui décoche une de ses flèches et que la jeune fille tombe amoureuse de la créature la plus laide. Mais Éros tomba sous le charme de Psyché, et après maintes péripéties, ils devinrent mari et femme.
Greuze imagine la scène du couronnement d’Éros par Psyché. C’est l’occasion pour lui de figurer une scène galante, voire érotique. Il dévoile le corps de Psyché et celui de la Pudeur à droite.
Afin de répondre au goût des spectateurs de l’époque, le décor se compose de mobilier à l’antique, alors à la mode. D’autres peintres classiques, comme David et son Apelle peignant Campaspe, feront de même.
Sur un dessin préparatoire aussi conservé au Palais des Beaux-Arts, on remarque que ce décor, tout comme les positions des personnages sont différents. Greuze, quand il passa à la réalisation de la peinture choisit un format allongé plutôt que vertical, afin de placer ses personnages comme sur une frise antique.
N° d’inventaire : P. 389 et W. 2431
Détail :
L’œuvre est restée inachevée. Certains accessoires, ainsi que le fond n’ont pas été terminés par l’artiste, peut-être parce qu’entre temps la commande fut abandonnée.