La vie privée de Prud’hon a été marquée par un mariage catastrophique. Sa femme, alcoolique et violente, finira internée. Après à cet échec personnel, le peintre va tomber amoureux de son élève, Constance Mayer, qui va devenir sa maîtresse. À la fin de sa vie, il dessinera des esquisses pour les toiles de Constance, comme le Rêve du bonheur.