Au début du XXe siècle, l’archiviste de Lille, Henry Rigaux, contribua largement à l’enrichissement des collections archéologiques du musée. En 1911, sa persévérance permit le don d’une hache en bois de cerf, datée du néolithique final, qu’il convoitait âprement depuis deux décennies.
Que cache un tel engouement pour une pièce de cette période?