En 2006, l’université de Lille 3 dépose au Palais des Beaux-Arts de Lille sa collection d’objets égyptiens et nubiens ainsi que ses papyri. Statuettes, céramiques et bijoux gagnent alors les réserves du musée pour être conservés, étudiés, voire restaurés, avant d’être présentés au public. Parmi eux, plusieurs masques funéraires plus ou moins fragmentaires attirent l’attention. Ils semblent avoir été volontairement découpés. Quelles raisons ont pu pousser les égyptologues à de telles interventions ?